Ces deux sociologues ont mené une enquête éclairante auprès de ménages en situation de fragilité et de précarité énergétique.
News
Adoptée le 28 décembre 2018, la Loi des finances comprend plusieurs mesures en faveur des ménages modestes dont :
En réponse à l'appel à projet lancé en avril 2018, le ministère en charge de l'énergie a retenu 18 nouveaux programmes éligibles aux certificats d'économies d'énergie.
Présenté le 24 janvier 2019, le projet de Programmation pluriannuelle de l'énergie couvre une période de dix ans. Ce projet aborde les questions de lutte contre la précarité énergétique dans la section consacrée à la "préservation du pouvoir d’achat des ménages et de la compétitivité du prix de l’énergie", où sont détaillées les mesures qui seront déployées dans la décennie à venir :
Action Logement, l’organisme chargé de collecter la participation des entreprises à l’effort de construction (ex-1 % Logement), a annoncé, jeudi 10 janvier, un « plan d’investissement massif de neuf milliards d’euros sur quatre ans », de 2019 à 2022, pour le logement des salariés modestes.
Le plan de rénovation énergétique des bâtiments lancé par le Gouvernement en avril 2018 a inscrit dans ses priorités la fiabilisation du diagnostic de performance énergétique (DPE), afin d’en faire un outil stratégique de valorisation de la performance énergétique et de support aux politiques publiques de rénovation.
Jeudi 6 décembre 2018, le ministère de la Transition écologique a publié le projet de SNBC révisée, qui dessine le chemin de la transition écologique et solidaire vers une neutralité carbone en 2050, conformément aux objectifs fixés dans l’Accord de Paris.
Le projet détaille un certain nombre de points qui concernent directement les ménages modestes et la lutte contre la précarité énergétique :
15 % des ménages ont souffert du froid chez eux au cours de l’hiver 2017-2018. C’est l’une des conclusions alarmantes du rapport de l’Observatoire national de la précarité énergétique (ONPE) rendu public le 23 novembre. Parmi les déclarants, 40 % estiment que ce froid est dû à une mauvaise isolation de leur logement et 28 % considèrent que c’est leur installation de chauffage qui est insuffisante.
Calfeutrer portes et fenêtres, dormir en manteau et bonnet, vivre dans une seule pièce l’hiver, s’endetter pour payer les factures de gaz ou de fioul… De nombreux Français éprouvent des difficultés à chauffer leur logement, encore accrues durant les épisodes de froid intense. Ils souffrent de « précarité énergétique », une situation mesurée par un observatoire national, qui a publié son tableau de bord annuel jeudi 22 novembre.